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Automne (poème grec)
Automne
Plus rien ne t'appartient
tu n'entends plus le vent
tu ne verras plus
Œdipe aveugle.
les feux te mangent la cervelle
sans merci.
La mer basilic frisé.
Un sourire jadis effleuré
nous glisse entre les doigts.
Reste la pluie qui fait l'amour avec les pierres
et les vieilles maisons en secret qui dansent.George Oikonomou
Traduction Michel Volkovitch (remerciements)
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