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Quels êtres admirables que ces Grecs. Leur existence était si heureuse qu'ils imaginaient que les dieux, pour trouver leur paradis et aimer, descendaient sur la Terre. Oui, la Terre était le paradis des dieux... Voilà ce que je veux peindre.
Auguste Renoir
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Les notes jouées sur un piano triste
Dans une nuit d'hiver finissant
La cloche de l'église donne l'heure
Une femme chante, grave
Au-dessus des mondes noirs.Une façade grise, la rue en contrebas
Déserte
Ma tête pareille à tout cela
Rien au-dehors, rien au-dedans
Se pourra-t-il que le jour se repeuple ?
Quel jour ?
Tremblant.L'impossibilité de toucher
Cette angoisse flottante,
Pas même une angoisse.Chanceler face au rien
Rien la vie, rien les gestes,
Choisir de voir passer les temps
Et ne plus toucher
Sinon avec le regard éloigné.
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