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Par Corinne Valleggia le 9 Avril 2007 à 14:31
Madame rêve...
Ce qui me gêne le plus avec Bashung,
La nuit je mens
c'est que la ménagère de 50 ans ne doit pas le faire fantasmer.
L'inverse n'est pas vrai.
Je prends des trains
A travers la plaine
La nuit je mens
Je m'en lave les mains.
Angora
Montre-moi d'où vient la vie
Où vont les vaisseaux maudits
Angora
Sois la soie, sois encore à moi...
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Par Corinne Valleggia le 9 Avril 2007 à 11:47
La terre mère ne va plus attendre
Cette nuit, qu'elle vienne me reprendre
Approche-toi mon tendre époux
Approche-toi mon enfant loupLes chants de la mort emportent l'Indienne
Pocahontas ta légende va naître !
John, quand ton monde te semblait petit
Je m'endormais à l'ombre des tipis
Je grandissais auprès des miens
Je respirais l'air du matin
Quand toi, tu traversais les océans
Je t'appelais dans mes prières.
John Smith, j'ai fait un rêve,
J'étais la fille d'Eve
John Smith, je suis ton rêve
Ton âme est dans ma sève
John Smith, rejoins l'Indienne
Née pour être tienne.
A l'aube ta voile surgit au loin
Mon regard ancien vit le tien
Dans la prairie du nouveau monde
Tu m'as effleurée de tes lèvres
Ma bouche à ta bouche s'est agrippée
Ton âme a cédé à l'amour sacré
L'arc du destin nous appelle.
Tu as tenté d'échapper à tes doutes
Mais je t'empêchais de trouver ta route
Tu as délaissé la lumière
Je me suis perdue dans ton ombre.
La vraie paix sera sans retour
Rêve indien que deviendras-tu ?
John Smith, j'ai fait un rêve,
J'étais la fille d'Eve
John Smith, je suis ton rêve
Ton âme est dans ma sève
John Smith, quitte l'Indienne
Morte pour être tienne.
Interprète : Lucie Jeanson - musique : Hervé Jeanson
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Par Corinne Valleggia le 1 Avril 2007 à 00:24
Cymbaline
Le chemin que tu prends est étroit
Et le ravin est pentu et très profond
Les corbeaux sont tous en train de guetter
Depuis un point de vue proche
L' appréhension monte
Comme une rame de métro le long de ta colonne vertébrale
La corde raide tiendra-t-elle bon ?
Le dernier couplet rimera-t-il ?
Et il est grand temps, Cymbaline
Il est grand temps, Cymbaline
S'il te plaît réveille-moi
Un papillon aux ailes brisées
Tombe à coté de toi
Tous les corbeaux se rapprochent
Tu n'as nulle par où te cacher
Ton producteur et ton agent
Sont tous deux occupés au téléphone
A vendre des photos en couleur
Aux magazines que tu retrouvera plus tard chez toi
Il est grand temps,Cymbaline
Il est grand temps Cymbaline
S'il te plaît, réveille-moi
Les lignes convergent vers toi
Ils ont du modifier le plan
Les feuilles à tes pieds sont lourdes
Tu entends le tonnerre du train
Soudains tu réalises
Qu'elles se rapprochent
Et Doctor Strange n'arrête pas de changer de taille
Il est grand temps, Cymbaline
Il est grand temps, Cymbaline
S'il te plaît réveille-moi
traduction piquée dans http://thinkfloyd.free.fr/traductions/traductions.htm
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Par Corinne Valleggia le 28 Janvier 2007 à 21:15
Et si jamais je vous disais,
Ce qui fait tous mes regrets
Mes regrets
Le désespoir de mes nuits
Et le vide de ma vie
De ma vie...
De ma pauvre vie...
La fille de la véranda
Que je n'ai vue qu'une fois
Encore le duo Etienne Roda-Gil/Julien Clerc pour enchanter nos mémoires défaillantes.
Illustration : 'Veranda' de John Michael Carter
http://johnmichaelcarter.com/index.html
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Par Corinne Valleggia le 27 Janvier 2007 à 15:37
Quand les images de Roda-Gil s'illuminaient sur les musiques de Julien Clerc, les patineurs oubliaient le monde....
Dans une ville où je passais...
Bien au nord du mois de Juillet,
Sur un grand lac, un lac gelé,
Un homme en noir glissait, glissait.
Il avait un drôle d'habit noir
Qui avait dû faire les grands soirs
De l'Autriche et de la Hongrie,
Quand elles étaient réunies.
C'était un échassier bizarre.
Il ne sort pas de ma mémoire.
Sur une jambe et jusqu'au soir,
Il glissait là sur son miroir...
Il patinait, il patinait...
Sur une jambe, il patinait.
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