• Madame rêve... 

    Ce qui me gêne le plus avec Bashung,
    c'est que la ménagère de 50 ans ne doit pas le faire fantasmer.
    L'inverse n'est pas vrai. Clin d'oeil
     

    La nuit je mens
    Je prends des trains
    A travers la plaine
    La nuit je mens
    Je m'en lave les mains.

    Angora
    Montre-moi d'où vient la vie
    Où vont les vaisseaux maudits
    Angora
    Sois la soie, sois encore à moi...

     


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  • La terre mère ne va plus attendre
    Cette nuit, qu'elle vienne me reprendre
    Approche-toi mon tendre époux
    Approche-toi mon enfant loup

    Les chants de la mort emportent l'Indienne
    Pocahontas ta légende va naître !

    John, quand ton monde te semblait petit
    Je m'endormais à l'ombre des tipis
    Je grandissais auprès des miens
    Je respirais l'air du matin 
    Quand toi, tu traversais les océans
    Je t'appelais dans mes prières.

    John Smith, j'ai fait un rêve,
    J'étais la fille d'Eve
    John Smith, je suis ton rêve
    Ton âme est dans ma sève
    John Smith, rejoins l'Indienne
    Née pour être tienne.

    A l'aube ta voile surgit au loin
    Mon regard ancien vit le tien
    Dans la prairie du nouveau monde
    Tu m'as effleurée de tes lèvres
    Ma bouche à ta bouche s'est agrippée
    Ton âme a cédé à l'amour sacré
    L'arc du destin nous appelle.

    Tu as tenté d'échapper à tes doutes
    Mais je t'empêchais de trouver ta route
    Tu as délaissé la lumière
    Je me suis perdue dans ton ombre.
    La vraie paix sera sans retour
    Rêve indien que deviendras-tu ?

    John Smith, j'ai fait un rêve,
    J'étais la fille d'Eve
    John Smith, je suis ton rêve
    Ton âme est dans ma sève
    John Smith, quitte l'Indienne
    Morte pour être tienne.


    Interprète : Lucie Jeanson - musique : Hervé Jeanson


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  • Cymbaline

    More, Pink FLoyd

     

     

     

     

    Le chemin que tu prends est étroit
    Et le ravin est pentu et très profond
    Les corbeaux sont tous en train de guetter
    Depuis un point de vue proche
    L' appréhension monte
    Comme une rame de métro le long de ta colonne vertébrale
    La corde raide tiendra-t-elle bon ?
    Le dernier couplet rimera-t-il ?
    Et il est grand temps, Cymbaline
    Il est grand temps, Cymbaline
    S'il te plaît réveille-moi

    Un papillon aux ailes brisées
    Tombe à coté de toi
    Tous les corbeaux se rapprochent
    Tu n'as nulle par où te cacher
    Ton producteur et ton agent
    Sont tous deux occupés au téléphone
    A vendre des photos en couleur
    Aux magazines que tu retrouvera plus tard chez toi

    Il est grand temps,Cymbaline
    Il est grand temps Cymbaline
    S'il te plaît, réveille-moi

    Les lignes convergent vers toi
    Ils ont du modifier le plan
    Les feuilles à tes pieds sont lourdes
    Tu entends le tonnerre du train
    Soudains tu réalises
    Qu'elles se rapprochent
    Et Doctor Strange n'arrête pas de changer de taille

    Il est grand temps, Cymbaline
    Il est grand temps, Cymbaline
    S'il te plaît réveille-moi

    traduction piquée dans http://thinkfloyd.free.fr/traductions/traductions.htm


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  • Et si jamais je vous disais,
    Ce qui fait tous mes regrets
    Mes regrets
    Le désespoir de mes nuits
    Et le vide de ma vie
    De ma vie...
    De ma pauvre vie...

    La fille de la véranda
    Que je n'ai vue qu'une fois

    Encore le duo Etienne Roda-Gil/Julien Clerc pour enchanter nos mémoires défaillantes.

    Illustration : 'Veranda' de John Michael Carter
    http://johnmichaelcarter.com/index.html


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  • Quand les images de Roda-Gil s'illuminaient sur les musiques de Julien Clerc, les patineurs oubliaient le monde....

    Dans une ville où je passais...
    Bien au nord du mois de Juillet,
    Sur un grand lac, un lac gelé,
    Un homme en noir glissait, glissait.

    Il avait un drôle d'habit noir
    Qui avait dû faire les grands soirs
    De l'Autriche et de la Hongrie,
    Quand elles étaient réunies.

    C'était un échassier bizarre.
    Il ne sort pas de ma mémoire.
    Sur une jambe et jusqu'au soir,
    Il glissait là sur son miroir...

    Il patinait, il patinait...
    Sur une jambe, il patinait.


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