Par Corinne Valleggia
C'était toi, toi,tu gisais en ma chairj'étais pénétrée,j'étais pleuranttu tendais tes silences vers moi,ton souffle désobéissaittoujours en moi,tu t'endormais, n'est-ce pas ?
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Le ciel pleutLe fleuve roule ses flotsJe me tiens sur la bergeAucune larme ne m'inondeAucun cri à ma gorge J'ai coupé ton premier cordonPourquoi l'ultime a-t-il résistéA mes mainsMortes à ton cou ? Le regard de l'ailleursMe garde de la vie.Dans l'errance...
Lire la suiteThème Magazine © - Hébergé par Eklablog