Par Corinne Valleggia
Le train. Dans chaque tour de roue, ton visage incrusté comme dans les vieux films américains. Le train. Le petit pied en bottine d'Anna Karénine descendant la dernière marche. Le train. Les visages meurtris des peuples en départ pour les champs barbelés....
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Evohé, évohé Pauvre roi sans royaume Qu’est-ce que tu fous Sur la colline dans minuit qui s’annonce Regarde les bosquets bougent Agavé va surgir sous ses voiles Qui cachent ses métamorphoses Ah non elle court nue splendide sous la lune Elle a bu tous...
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