A la fin tu es las de ce monde nouveau Berger ô tour Google le troupeau du Net crie bravo Tu aspires à vivre dans l’éternelle grécité Ici même les nouvelles ont l’air de se répéter La religion dresse ses vieux murs pour la foule docile Elle souffle sa...
Lire la suite« Ayant le feu pour père, et pour mère la cendre. » (Agrippa d'Aubigné) « La neige fait au nord ce qu'au sud fait le sable. » (Victor Hugo) « Rester dans le paradis, et y devenir démon, rentrer dans l'enfer, et y devenir ange ! » (Victor Hugo) « Il faut...
Lire la suitehttp://library.madeinpresse.fr/samples/MPbD24U9KG7H-f A feuilleter la chapelle Sixtine et des sonnets choisis de Michel Ange
Lire la suite" J'ai dit ma peine à qui n'a pas souffert Il s'est ri de moi. J'ai dit ma peine à qui a souffert, Il s'est penché vers moi. Ses larmes ont coulé avant mes larmes. Il avait le coeur blessé." Jean Amrouche, Chants berbères de Kabylie
Lire la suiteà suivre sur http://greekcrisisnow.blogspot.fr/ « Respirez librement, respirez enfin librement, c'est la prise de la Bastille du bipartisme, l'effondrement du système collaborationniste du PASOK et de la Nouvelle Démocratie. Ce n'est qu'un début, les...
Lire la suiteLe test des trois passoires Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute opinion de la sagesse. Quelqu'un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dit : Quida m — Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami ? Socrate — Un instant, répondit...
Lire la suiteElle m'a dittu es mauvais pèrerends-moi mon filselle l'a tant pris dans ses brasqu'aujourd'hui il s'essoufflesur les collines de la vieà grand videil saute à cloche-pieddans les marelles effacéesje pèche avec luidans les eaux bleuespour oublierlà-bas...
Lire la suite"Plus nous sommes silencieux, patients et recueillis dans nos tristesses, plus l'inconnu pénètre efficacement en nous. Il est notre bien... Seul un homme qui serait placé brusquement, et sans y avoir été aucunement préparé, de sa chambre au sommet d'une...
Lire la suiteLa chair n'est pas triste hélas nous clament les livresReste-là ! Je sens combien les hommes sont ivresA boire l'écume reconnue des mortellesTous les anciens d'Olympe en trouble écho rappellentLes ravissements d'Europe à Lol sans répit O nuits ! Les joues...
Lire la suiteSi les lettres se déboublentCe n'est pas le blanc qui se détacheC'est le noir qui évacue ses nuisibles Le sang des comètes en océanEnvahit les terres en falaiseLe sable enfin trouve sa douceur Et tu t'étends dans les infinis solublesLa mémoire des ors...
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