Par Corinne Valleggia
Alexandre De nouveau seul. Non, je ne vous oublie pas, chères ombres et même si le soleil m'aveugle je sais que vous êtes là, un peu en retrait comme il sied à des morts. Ce soleil, regardez comme il brille. Mais vous ne pouvez pas le voir, ce n'est même...
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Hivernal Aux reflets frileux s'enfièvre le désir glacé de tes yeux. Printanier Les oiseaux nomades aux ailes floues du désir de tes bras s'évadent. Estival Les épis se courbent au gré des brulants désirs de ton corps superbe. Automnal D'un brun tatouage...
Lire la suiteThème Magazine © - Hébergé par Eklablog