Il était une fois une petite sirène. Ce pourrait être celle du Danemark ; celle qui attend immobile et fragile le retour d’un prince venu de Thullé. Elle s'est assise un matin d'automne sur les roches humides d'une plage danoise et depuis elle penche...
Lire la suiteLa reine mère - Bonjour jardinier, ne t'éloigne pas, j'ai besoin de toi. J'ai encore senti mes rhumatismes dans l'épaule gauche cette nuit. Comme à chaque printemps, les courants froids frappent à ma fenêtre et me rappellent que le temps sans vieillesse...
Lire la suiteOndine (une voix au lointain) Je peux le pressentir, quelque chose d’important va arriver ça approche. Ondine sort de l'eau ; sur la plage un homme est assis (même pose que le penseur de Rodin) Ondine Bonjour, que faites-vous sur la plage ? Le pêcheur...
Lire la suiteZagrès (attaché à la proue d'un navire) - Demain je retrouverai l'Ile sans avoir accompli ma quête. J'ai traversé les mers, les déserts, les montagnes, je me suis égaré, j'ai voyagé vers des rivages lointains, je me suis éloigné pour me trouver moi-même....
Lire la suiteZagrès (attaché à la proue d'un navire) - Demain je retrouverai l'Ile sans avoir accompli ma quête. J'ai traversé les mers, les déserts, les montagnes, je me suis égaré, j'ai voyagé vers des rivages lointains, je me suis éloigné pour me trouver moi-même....
Lire la suiteOndine sort de l'eau ; sur la plage un homme est assis (même pose que le penseur de Rodin). Ondine - Bonjour, que faites-vous sur la plage ? Le pêcheur - Mon fils aîné a été pris dans la tempête il y a douze jours. J'ai retrouvé son corps brisé sur les...
Lire la suiteOcéan - Je me souviens des jours anciens et je m'enivre de leur fuite insoutenable. Quelle couche choisirai-je cette nuit ? La tienne ? Nessoa - Je ne suis pas une de tes passantes. Je viens de ton passé, Océan. Arrête de boire, tu es ivre. Océan - La...
Lire la suitePrend mes mainsMon coeur est sans ruseEpouse ma nuitQuand moi j'accepte la brillancede tes jours.
Lire la suiteOndine Je marche sur mon dernier chemin, je te contemple pour la dernière fois, soleil ! L’éternel sommeil va me saisir sans que l’hymne nuptial et l’anneau d’or ne m’aient apporté l’amour heureux. Poisson, poisson-pilote, guide-moi jusqu’à sa nef blanche....
Lire la suiteNessoa Allons Océan, tu n’as pas besoin de ce masque pour me fuir. Ne bouge pas que je tourne autour de ta grandeur que je redécouvre celui qui est parti sans un mot. Tu as vieilli Océan, ton front est plus large et tes épaules se courbent mais tu n’as...
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